J’ai besoin d’une voiture, je vote UDC !

Une grande majorité de la population du canton du Jura a besoin d’une voiture pour se déplacer au travail, pour le travail ou pour des raisons de manque de transports publics.

Personnellement, j’ai besoin d’une voiture pour le travail (accessibilité de mes différents lieux de travail, transport de matériel, trajet en transport public pas efficace). Pour atteindre par exemple la Chaux-de-Fonds depuis Courroux, il me faut avec les transports publics entre 1h32 et 1h52. En voiture, j’y suis en 1h. Pour atteindre Alterswil dans le canton de Fribourg, il me faut entre 2h24 et 2h32 contre 1h30 en voiture.

Pour atteindre mes lieux de travail à Bienne et Berne, j’utilise les trains, les bus et les trams et s’est pour cela que j’ai un abonnement général.

La vision des partis de gauche est de répartir la richesse en utilisant en premier lieu le thème de l’écologie. J’ai trouvé une affiche à Moutier pour la manifestation climatique du 15 mai avec les textes suivants : « ALARME CLIMATIQUE & SOCIALE » et « on veut des MILLIARDS pour l’écologie et la justice sociale ». Ils veulent sauver la planète avec des taxes et eux-mêmes ne sont pas crédible avec le soutien de projets comme la géothermie profonde pétrothermale. Il manque fortement de la cohérence dans la mise en œuvre des différentes énergies renouvelables de la plupart des partis.

Osons dire que nous avons besoin d’une voiture et arrêtons de criminaliser les automobilistes, votons UDC !

Taux de chômage à 5.1% et 6.8% pour les demandeurs d’emploi suivis par les ORP

La situation au niveau du chômage est et restera très inquiétante ces prochains mois. Surtout pour les jeunes et les seniors. Il faut rappeler que le canton du Jura n’a jamais eu autant de travailleurs frontaliers, 8’639 personnes à fin juin 2020.

Les autres partis préfèrent la méthode «Bobologie» au lieu de traiter le problème à la racine

Les effets négatifs sur l’économie en lien avec la COVID-19 commencent à se faire ressentir et le sommet sera atteint que l’année prochaine. Beaucoup de personnes se retrouveront malheureusement sans emploi et des entreprises ne survivront pas cette crise sanitaire. Une tâche pas facile pour les entrepreneurs de prendre les bonnes décisions. Ils analysent déjà la situation depuis quelques mois et évaluent qui et quand un employeur devra être licencié.

Beaucoup de personnes seront confrontées tôt ou tard avec cette dure réalité sur le marché de l’emploi. Des femmes et des hommes, des jeunes et moins jeunes, des mères et des pères, sans emploi, sans salaire, sans rythme journalier structuré et cela d’un jour à l’autre.

Tous les autres partis font des promesses ou trouvent des solutions avec par exemple la rente-pont destinée aux chômeurs en fin de droit de plus de 60 ans, dont la fortune est inférieure à 50’000 francs ou 100’000 francs pour les couples et dont les cotisations AVS ont été payées pendant au moins 20 ans. Une nouvelle mesure élaborée par le Conseil fédéral avec les partenaires sociaux pour favoriser la main d’œuvre indigène et faire obstacle à l’initiative pour la limitation soumise au vote le 27 septembre 2020. Pour résumé, une nouvelle assurance sociale fortement injuste à cause des différents critères financiers des personnes concernées.

  • Faut-il encore inciter à la prévoyance privée dans le 3ème pilier ou à faire des économies ?
  • Est-ce qu’il faut absolument éduquer les citoyens à moins se responsabiliser et finalement se laisser mettre sous tutelle par l’Etat ?

Non, la toute grande majorité des citoyennes et citoyens de notre pays veulent rendre service à la société et travailler. Nous ne sommes pas d’accord d’inciter des licenciements, de mettre sur la touche des personnes qui veulent travailler et de mettre en place un système étatique en plus.

Mais tous les autres partis préfèrent pratiquer la bobologie au lieu de traiter le problème à la racine…

…dans ce cas précis, la Suisse doit à nouveau gérer indépendamment la migration sur son territoire et absolument éviter un pays à 10 millions d’habitants. Ainsi, nous pourrons enlever la pression existante à ce jour sur les travailleurs indigènes au niveau de la place de travail et du salaire. Toutes les mesures proposées par les autres partis et les partenaires sociaux (mesures d’accompagnement, rente-pont, etc.) sont uniquement mis en place pour de l’esthétique. Ils espèrent redorer leur blason face aux travailleurs. Cela n’a rien avoir avec une vraie solution.

Le mal doit être traité à la racine !

Didier Spies