Les autres partis préfèrent la méthode «Bobologie» au lieu de traiter le problème à la racine

Les effets négatifs sur l’économie en lien avec la COVID-19 commencent à se faire ressentir et le sommet sera atteint que l’année prochaine. Beaucoup de personnes se retrouveront malheureusement sans emploi et des entreprises ne survivront pas cette crise sanitaire. Une tâche pas facile pour les entrepreneurs de prendre les bonnes décisions. Ils analysent déjà la situation depuis quelques mois et évaluent qui et quand un employeur devra être licencié.

Beaucoup de personnes seront confrontées tôt ou tard avec cette dure réalité sur le marché de l’emploi. Des femmes et des hommes, des jeunes et moins jeunes, des mères et des pères, sans emploi, sans salaire, sans rythme journalier structuré et cela d’un jour à l’autre.

Tous les autres partis font des promesses ou trouvent des solutions avec par exemple la rente-pont destinée aux chômeurs en fin de droit de plus de 60 ans, dont la fortune est inférieure à 50’000 francs ou 100’000 francs pour les couples et dont les cotisations AVS ont été payées pendant au moins 20 ans. Une nouvelle mesure élaborée par le Conseil fédéral avec les partenaires sociaux pour favoriser la main d’œuvre indigène et faire obstacle à l’initiative pour la limitation soumise au vote le 27 septembre 2020. Pour résumé, une nouvelle assurance sociale fortement injuste à cause des différents critères financiers des personnes concernées.

  • Faut-il encore inciter à la prévoyance privée dans le 3ème pilier ou à faire des économies ?
  • Est-ce qu’il faut absolument éduquer les citoyens à moins se responsabiliser et finalement se laisser mettre sous tutelle par l’Etat ?

Non, la toute grande majorité des citoyennes et citoyens de notre pays veulent rendre service à la société et travailler. Nous ne sommes pas d’accord d’inciter des licenciements, de mettre sur la touche des personnes qui veulent travailler et de mettre en place un système étatique en plus.

Mais tous les autres partis préfèrent pratiquer la bobologie au lieu de traiter le problème à la racine…

…dans ce cas précis, la Suisse doit à nouveau gérer indépendamment la migration sur son territoire et absolument éviter un pays à 10 millions d’habitants. Ainsi, nous pourrons enlever la pression existante à ce jour sur les travailleurs indigènes au niveau de la place de travail et du salaire. Toutes les mesures proposées par les autres partis et les partenaires sociaux (mesures d’accompagnement, rente-pont, etc.) sont uniquement mis en place pour de l’esthétique. Ils espèrent redorer leur blason face aux travailleurs. Cela n’a rien avoir avec une vraie solution.

Le mal doit être traité à la racine !

Didier Spies